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L’économie de fonctionnalité consiste à vendre un usage sous forme de services plutôt que des produits, tout en prenant en compte le développement durable.
L’activité de veille en entreprise consiste à collecter des informations technologiques et stratégiques pour permettre d’anticiper les évolutions et les innovations.
L‘export est une démarche globale. Elle doit être intégrée dans la stra- tégie de l’entreprise. Beaucoup de pays paraissent alléchants mais leur accessibilité peut être problématique.
Afin de concilier création de valeur et préservation de l’environnement, les modèles d’affaires peuvent être réinterrogés et intégrer des notions telles que l’économie de la fonctionnalité et l’innovation dans la stratégie commerciale.
Le marché du carbone et la lutte contre les changements climatiques gagnant chaque jour plus de terrain, la réduction des émissions gaz à effet de serre et l’efficacité énergétique semblent être des vecteurs d’innovation.
Démarche créative, source d’innovation et de différenciation, l’éco- conception constitue une approche positive de l’environnement et un levier de création de valeur.
Le contexte mondial d’augmentation de la population et de diminution des ressources et matières premières impose de réfléchir au passage d’une économie linéaire vers une économie circulaire.
La valorisation des déchets consiste à réutiliser les déchets en vue d’en faire une valorisation énergétique ou matière.
Le digital transforme la relation de l’entreprise avec ses clients. Omni-présente, multi canal et toujours plus en temps réel, cette relation est porteuse de valeur.
L’objectif du chaînage numérique des processus est d’assurer l’interopérabilité entre les différents outils et processus de gestion de l’entreprise afin de maximiser la valeur ajoutée de chaque système.
La gestion de la fin de vie du produit consiste en la planification et l’exécution des opérations de retrait du marché en optimisant l’impact environnemental et économique.
Les enjeux de la digitalisation de la supply chain sont nombreux, le plus important étant de décloisonner les frontières entre les différents ser- vices de l’entreprise, afin de faciliter la construction d’un plan commun et de proposer de nouvelles expériences aux clients.
Le processus de conception d’un nouveau site de production comporte plusieurs phases : conception du site, préparation et suivi de chantier de construction, mise en route et réception des installations, formation des opérateurs à leurs postes de travail et aux procédures…
La maquette numérique du produit (digital mock-up) ou la prise en compte de critères biomimétiques pour la simulation numérique sont des technologies clés de l’ingénierie.
Ces outils logiciels de simulation ont pour but d’améliorer et d’optimi- ser l’utilisation des procédés, la maintenance des machines supports aux procédés, ainsi que les moyens de transfert inter-procédés et de transport.
Le modèle numérique de l’usine permet de tester virtuellement tout ce qui peut se passer dans celle-ci afin d’anticiper au mieux tous les impacts avant la mise en production réelle.
La gestion et le pilotage de la production regroupent les activités de- planification et d’ordonnancement, d’aide à la décision pour la production, de traçabilité des opérations de production, de mise en place des processus de contrôle qualité et de maintenance…
Les domaines et techniques de simulation sont très nombreux et peuvent, pour la filière palette bois, être utiles pour l’optimisation des produits, mais surtout pour l’optimisation des process et processus.
L’ informatique en nuage est un système d’in- formation et de services accessible via Internet. Le cloud désigne un ensemble de processus qui consiste à utiliser la puissance de calcul et/ ou de stockage de serveurs informatiques distants à travers un réseau, généralement Internet.
Dans la compétition actuelle, les entreprises doivent établir une straté- gie leur permettant de générer de meilleurs produits, plus vite et moins cher que leurs concurrents. Pour cela, améliorer la gestion de la qualité en l’évaluant durant tout son cycle de vie sera un enjeu.
Le lean est un levier d’innovation organisationnelle et managériale. À l’émergence du LEAN manufacturing, modélisé par le MIT dans les années 80, celui-ci est un levier d’innovation incrémentale avec l’élimination des gaspillages, l’application d’outils dits LEAN au sein des processus de l’entreprise en vue de leur optimisation en termes de délai, qualité, coût.
Tout lancement en production doit être préparé, anticipé et organisé. Les alternatives de mise en œuvre des ordres de fabrication, d’achat ou doivent être établies, évaluées au fur et à mesure de l’évolution de la demande et de l’état de l’atelier ou de la chaîne logistique.
De nombreux travaux théoriques ou empiriques sont consacrés ces dernières années aux changements fondamentaux qui s’opèrent dans les organisations et sur la structuration de formes organisationnelles nouvelles.
Constituant l’une des facettes de l’Internet des objets, les réseaux industriels sans fil consistent en un ensemble de technologies et proto- coles de communication à distance, permettant l’échange de données entre les composants, entre composants et machines, ainsi qu’entre composants et systèmes de gestion et de pilotage.
Les réseaux industriels traditionnels reposent sur des technologies et protocoles de communication de proximité filaires point-à-point per- mettant l’échange de volumes de données généralement plus impor- tants que les technologies sans fil. Pour autant, ces technologies sont souvent complémentaires.
La cybersécurité consiste à assurer que les ressources numériques d’une entreprise, qu’elles soient matérielles, logicielles ou de communication, soient préservées de toute attaque, qui les détourneraient de leur fonctionnement initialement prévu.
L’Internet industriel représente une connexion bidirectionnelle des objets industriels avec des systèmes informatiques, plus généralement hébergés dans le cloud afin de surveiller, contrôler et d’optimiser les processus physiques opérationnels des usines, automatiquement.
L’interopérabilité est l’un des défis majeurs de l’Industrie du Futur. Afin d’assurer l’optimisation des opérations de l’usine et son insertion dans la chaîne de valeur, ses systèmes sont compatibles avec des standards d’échanges d’informations et peuvent utiliser des services numériques dans le cloud.
Les capteurs autonomes s’autoalimentent en récoltant l’énergie dispo- nible dans l’environnement (énergie solaire, vibratoire, thermique…). Ils transmettent, sans fil, les informations vers d’autres capteurs ou vers une unité de traitement.
La fiabilité correspond à la confiance, dans le temps, qu’un utilisateur peut accorder à un équipement ou à un dispositif dont il attend un service. Les conditions d’emploi particulièrement sévères de la méca- tronique embarquée font apparaître des mécanismes de défaillance nouveaux.
La nouvelle industrie doit être agile et produire des produits spéci- fiques et customisés au prix de la série. L’industrie doit faire preuve d’intelligence, d’adaptabilité et d’innovation pour faire évoluer ses méthodes de production.
Plus encore que l’automatisation des postes de travail pour faire face à l’augmentation des cadences, les fabricants et les logisticiens cherchent aussi à augmenter la flexibilité de l’outil de production, optimiser le transport des pièces d’un poste à un autre et maintenir des flux continus d’approvisionnement.
La compétitivité industrielle repose avant tout sur la capacité des entreprises à améliorer la performance de leurs systèmes de production et à en augmenter la flexibilité et l’agilité en mobilisant de nombreuses solutions technologiques complémentaires auxquelles on intègre également les matériaux et les nouveaux procédés.
L’intelligence des composants de produits se distingue par les propriétés suivantes, une intuition lors de leur manipulation, une capacité à communiquer avec le processus de production et une interconnexion décentralisée.
L’usine intelligente, souvent considérée comme le socle de la révolution industrielle digitale, exploite les dernières technologies comme l’IoT, l’analyse big data, l’intelligence artificielle et la robotique avancée pour gagner en productivité, en efficacité et en flexibilité.
L’usine intelligente se doit d’exploiter au maximum son « vécu » et pour cela analyser les données issues de ses activités afin de mesurer, de comprendre, d’apprendre, de progresser…
L’avènement de l’Internet des objets et du big data permet aujourd’hui d’obtenir en temps réel les informations relatives au comportement des produits, ainsi que celles liées à leur utilisation.
Dans la vision de l’Industrie du Futur, les procédés gèreront intelligemment plusieurs sources d’énergie (solaire, éolien, chaleur récupérée, etc.) et pourront dans certains cas en produire.
L’appellation « technologie propre » couvre toute méthode de fabrication ou procédé utilisant le plus rationnellement possible les matières premières et/ou l’énergie, tout en réduisant la quantité des effluents polluants, des déchets, ou rebuts produits lors de la fabrication ou pendant l’utilisation du produit.
La surveillance à distance dans l’industrie tire parti des avancées ef- fectuées dans les domaines des télécommunications, des capteurs, de l’Internet des objets ou encore dans le traitement des signaux acous- tiques, vibratoires, thermiques, ou électriques.
Un système de contrôle distribué ou DCS (distributed control system) ou encore système numérique de contrôle-commande (SNCC) est un système de contrôle industriel destiné aux usines ou process indus- triels dont les éléments de commande sont distribués ou géo-répartis.
La surveillance à distance flexibilise la localisation des équipements et des personnels, entraînant une réduction des coûts, une meilleure efficacité et une polyvalence accrue pour s’adapter aux changements internes et aux tendances extérieures.
L’innovation collaborative consiste, pour une entreprise souhaitant élargir son champ de développement, à s’associer avec d’autres organisations partenaires pour faire émerger, décider et/ou réaliser un ou plusieurs projets d’innovation de façon conjointe.
Les machines du futur devront de plus en plus interagir et coopérer avec l’opérateur. Les robots seront collaboratifs, voire pourront jouer un rôle démultiplicateur de la force humaine, comme c’est le cas avec la cobotique et les exosquelettes.
Les définitions suivantes permettent de bien situer les cobots: un robot, un système robotisé collaboratif, un cobot et un exosquelette.
La conduite du changement relève à la fois des démarches relatives au pro- grès continu et à la gestion de projet. Le changement est un processus ren- du difficile par sa rapidité, sa nouveauté, sa complexité…
La prise en compte des facteurs humains vise à l’optimisation des performances humaines sur le lieu de travail dans une optique de sécurité, de bien-être et d’efficacité.
Gérer les connaissances et les compétences est devenu un enjeu majeur face à la difficulté de recruter et d’attirer les savoirs dans les usines. Ce n’est pas (et cela n’a jamais été) une tâche triviale.
L’empowerment est un outil de management efficace et collaboratif qui offre aux salariés un plus grand pouvoir d’initiative. Vision, appropriation et autonomie en sont les 3 piliers de base.